stop
X : Bonsoir Boris.
B : Bonsoir petit ami imaginaire.
X : Dit moi Boris sa n'a pas l'air d'aller ?
B : Vi, j'ai des petits problèmes ... Je suis crévé, je fatigue ... Donc forcément, j'ai les nerfs sensibles ...
X : Ho, oui, j'imagine, mais pourquoi tappe tu contre ce mur ?
B : Et bien, quand l'on a les nerfs à fleur de peau et quand rentrant d'un concert -vers 1h30 du mat'- on découvert que son con de chien -crève batard- A POURRIT CINQ PLANCHES DE DESSINS DANS LA NUIT SA ENERVE UN PEU !!!!!!!
X : je comprend ...
B : non tu ne peut pas comprendre, je me suis pourri les vacances avec se travail de merde, j'en ai vraiment plein le cul ... Voir les planches déformées par ce gros tas, c'est pas supportable.
X : mais ...
B : ta gueule connard, j'ai plus envie de parler, tu me fait chier, je me casse.
X : Fumer n'arrangera pas tes problèmes.
B : je sais, parcontre tu n'as pas l'air de te rendre compte que continué à me parler agrave les tiens.
X : Tu ne peut que te faire du mal, je suis toi guignol.
B : Attention sa va partir !
Bref, écourtont ce dialogue interieur
totalement stupide et dépourvu de tout intérêt.
Voila les planches.